Gabriel Lédan a commencé à sonoriser le pardon de Notre-Dame de Joie à partir de l'année du couronnement de la statue en 1951.
En l'année 1696, la ville de Pontivy est atteinte d'une épidémie de dysenterie. Grâce au Vœu que font les paroissiens auprès de la Vierge Marie, l'épidémie disparait. L'église Saint-Ivy change alors de vocable et est dédiée à Notre-Dame de Joie.
Le pardon est organisé chaque année, le deuxième dimanche de septembre.
Il est organisé en plusieurs moments.
La veille,...
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Gabriel Lédan a commencé à sonoriser le pardon de Notre-Dame de Joie à partir de l'année du couronnement de la statue en 1951.
En l'année 1696, la ville de Pontivy est atteinte d'une épidémie de dysenterie. Grâce au Vœu que font les paroissiens auprès de la Vierge Marie, l'épidémie disparait. L'église Saint-Ivy change alors de vocable et est dédiée à Notre-Dame de Joie.
Le pardon est organisé chaque année, le deuxième dimanche de septembre.
Il est organisé en plusieurs moments.
La veille, une cérémonie rassemble les jeunes. Le lendemain matin la grand messe est célébrée. Ensuite le chapelet est récité puis les vêpres terminent la journée.
Durant les vêpres, il est procédé à la procession dans la ville de Pontivy. Les pèlerins marchent de la basilique Notre-Dame de Joie à l'église Saint-Joseph où l'homélie est prononcée.
Gabriel Lédan devait sonoriser l'ensemble de la ville car les deux lieux sont éloignés d'environ 600 mètres.
