Imprimer cette page

Sénéchaussée de Ploërmel

Fermer le formulaire de recherche

Présentation des notices

-+
  • Audiences. 1591-1790
    • B 3163 - Causes civiles et d'office. Registre pour servir à Me Jean Lopitallier, sieur de Pontmorio, greffier de la cour et sénéchaussée royale de Ploërmel, chiffré et millisimé par messire René de Sérent, conseiller du Roi, sénéchal de Ploërmel. Adjudication à demoiselle Anne Sylvie de La Haye, dame de la Ville-Davy, pour la somme de 3 500 livres, du bail à ferme des terres et seigneurie de Gaël et Comper, saisies sur feu messire Mathurin de Rosmadec, chevalier, baron du dit Gaël (16 janvier 1696). Réclamation au greffier de Redon des dépositions recueillies par l'alloué et le recteur de cette ville suivant commission de M. M. l'alloué de Ploërmel et l'official de Vannes au sujet de l'affaire Julien Mesnil, prêtre, prévenu d'avoir assassiné le chevalier de Peslan (4 février 1696). Sentence pour Gilles-François du Houx, chevalier, seigneur de La Gacilly, héritier bénéficiaire de messire Gilles du Houx, qui ordonne remboursement à son profit par Me Jean Gaillard, commissaire aux saisies réelles, de la somme de 54 livres, montant de sa capitation pour la terre des Bouexières saisie par divers créanciers dans l'intérêt desquels il a payé provisoirement la dite capitation pour éviter une prolongation de garnison qui aurait entraîné de grands frais (24 février 1696). Conflit d'attributions entre messire René de Sérant, chevalier, seigneur de La Rivière, sénéchal du siège de Ploërmel et écuyer Jean Michel, alloué du dit siège. Sentence qui ordonne l'exécution d'un arrêt de la cour portant règlement à ce sujet, au profit de M. le sénéchal, nonobstant l'opposition du dit sieur alloué (27 février 1696). Procès relatif aux réparations de la terre et seigneurie de la Gabtière, commencées d'urgence par M. Gilles Troussier, chevalier, chef de nom et armes de la Gabtière, subrogé au bail de la dite seigneurie, suivant sentence du 2 mai précédent portant que le prix du dit bail sera employé à faire ces réparations. Sommations aux créanciers de venir déclarer positivement s'ils veulent entreprendre les réparations dont il s'agit (23 mars 1696). 1696